Rencontres

1958 Philippe le Bon

Photo de communion religieuse
Philippe le Bel et Philippe le Bon (sans confusion possible)

"Avec M Borel, le cours d'anglais devient un jeu et, pour paraphraser un sketch de Fernand Raynaud, nous ne travaillons pas, nous nous amusons. "

...

 

"Le cours est en effet une histoire qui, à chaque heure, s'enrichit d'un épisode nouveau que nous inventons avec lui. Il fait de nous des acteurs de l'histoire et nous donne ainsi des rôles et des noms. Comme nous sommes deux Philippe dans la classe, mon camarade devient Philippe le Bel et moi - par défaut et faute de mieux ? - Philippe le Bon."

 

 

Jacques Borel, mon professeur d'anglais en 1958, Prix Goncourt en 1965

 

 

 

 

Textes entre guillemets extraits de l'Abécédaire d'un baby-boomer

 

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